Plus grande, plus technologique... La nouvelle Série 5 débarque
BMW répond du tac-au-tac à Mercedes. Alors que la nouvelle Classe E vient d’être dévoilée, la firme bavaroise dégaine sa nouvelle Série 5 dont les plis de carrosserie sont davantage marqués. Le capot nervuré surplombe une double calandre aux arrêtes saillantes mais à la taille encore raisonnable. Les projecteurs remontent sur les ailes, écho à la Série 5 E60 de 2002.
La poupe, elle, dispose de feux verticaux inspirés de la Série 7. En parlant de « grande », cette Série 5 (code G60) s’allonge de 10 cm (5,06 m). De quoi faire rougir la Classe E (4,95 m) et l’Audi A6 (4,94 m).
A l’intérieur, rupture est faite avec la gamme précédente. La présentation s’inspire des récentes Série 7 et XM avec un double écran dédié à la navigation tactile (14,9 pouces) et à la diffusion des informations de conduite (12,3 pouces). Chasse aux boutons oblige, les commandes de climatisation sont devenues tactiles. La molette de navigation iDrive reste tout de même sur la console centrale. Adoption de la 5G, conduite autonome sur voie rapide, système de manœuvre automatique, connexion des smartphones et montres digitales au véhicule… La Série 5 est un condensé de technologies.
La berline propose un quatre-cylindres essence 2.0 l (520i) de 190 ch et un quatre-cylindres diesel 2.0 l de 197 ch. Cette dernière est proposée avec la transmission intégrale xDrive optionnelle. Les deux blocs profitent chacun d’une micro-hybridation 48V : 18 ch en 520i et 11 ch en 520d. Ils seront rejoint par les hybrides-rechargeables 550e xDrive (489 ch) et 530e (299 ch). Enfin, comme attendu, la Série 5 se déclinera en version 100% électrique. Baptisée i5, elle offrira 340 ch (eDrive 40) ou 601 ch (M60 xDrive) et jusqu’à 582 km d’autonomie (515 pour la M60).
Côté tarifs, la Série 5 débute à 62 800 € en 520i. La i5, elle, propose un ticket d’entrée à 76 200 €, presque similaire à celui de sa rivale, la Mercedes EQE.
Le Lotus Eletre ouvre son carnet de commandes
L’arrivée de l’Eletre sur nos routes approche. Dévoilé en mars 2022, le premier SUV signé Lotus est maintenant disponible à la commande. Avec ses 5,10 m de long (dont 3,02 m d’empattement), il se démarque par un look taillé à la serpe, façon Lamborghini Urus. Animé par deux moteurs électriques (un sur chaque essieu), l’Eletre offre 600 ch. Suffisant pour mouvoir ce gabarit avoisinant les 2 tonnes. Cette finition de base dispose des sièges avant électriques, de la climatisation automatique, d’un écran tactile de 15,1 pouces, d’un affichage tête haute de 29 pouces, d’un système audio avec 15 haut-parleurs ainsi que d’une suspension pneumatique active. Le tout pour la modique somme de 96 890 €.
La finition S greffe à l’ensemble, entre autres, un éclairage d’ambiance, un système audio avec 23 haut-parleurs, le soft-close ou encore un aileron arrière actif. Facture totale : 122 090 €.
Summum de la gamme, la finition R porte la puissance totale à 905 ch. mais voit son autonomie globale réduite à 490 km au lieu des 600 annoncés pour les déclinaisons moins performantes. Un surplus de puissance facturé 152 090 € au bas mot. Pour en savoir davantage sur les offres de financement en leasing LLD pour la Lotus Eletre, nous vous invitons à consulter notre page dédiée à ce modèle en cliquant ici.
Certaines voitures électriques bientôt privées de bonus écologique ?
L’État se joint à la bataille des véhicules électriques. Alors que la concurrence fait rage entre les constructeurs sur le terrain de la voiture décarbonée, l’Élysée a annoncé réglementer plus durement les choses. Objectif : « Exclure les véhicules à faible performance environnementale », a précisé Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, lors de la présentation de ce nouveau projet de loi sur l’industrie verte.